mercredi 21 juillet 2010

Dimanche 19 avril 2009 – KYOTO - HIROSHIMA

Chateau Ninjo
Le soleil est toujours présent et nous profitons de notre dernière matinée à Kyoto. Un coup de bus et nous voilà au château Ninjo, château du Shogun, qui plus est, est du 17ème siècle, voilà qui est intéressant. En chaussettes comme d‘habitude, nous partons à la découverte des pièces : longues enfilades de portes coulissantes, impressionnantes à dire vrai. On aperçoit de temps en temps, de belles peintures, des hérons ou oiseaux aux longues jambes, des fleurs parfois. Le dessin est toujours fin et les couleurs sont belles.
Une dernière salle nous montre, avec des mannequins grandeur nature, habillés en samouraïs, la reddition du Shogun à l’Empereur : fin de l’ère Edo et début de Meïji.


 Il y a un monde fou dans ce château mais j’apprécie vraiment cette visite. Le jardin extérieur est bien dessiné et j’en profite pour faire une halte carte postale assise confortablement sur un banc de pierre.
Nous retournons ensuite à l’auberge prendre nos valises. Dehors, beaucoup de femmes portent le kimono, c’est vraiment joli, jusque dans l’assemblage des couleurs.








Train jusqu’à Osaka, puis nous changeons pour Hiroshima. Arrivés à la gare, nous prenons le tramway pour gagner notre nouvelle auberge. C’est une sorte d’auberge de jeunesse, bien située, à 10 minutes à pieds du mémorial de la paix. Accueil sympathique, de bons tatamis, une grande cuisine commune. Nous posons nos valises et organisons notre excursion dans le sud de Kyushu : Kagoshima et Yakushima. Patrice se débrouille fort bien au téléphone et me fait penser à Bourvil parlant anglais! Je ne lui dis pas de peur de le vexer car il est susceptible ! Nous dînons de la spécialité locale : une sorte de grosse crêpe formée avec du poisson, du chou… Bof !
Ca remplit l’estomac mais ça n’est pas très bon !
Nous décidons ensuite d’aller au bain public à côté de l’auberge.
Nous sommes maintenant des habitués et j’avoue apprécier ce bain bouillant. Ca relaxe après la journée. Nous rentrons nous mettre au plumard, il pleut…

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