Notre aubergiste nous conduit à la gare en voiture et nous prenons le train de 07h10 qui s’arrête dans toutes les gares… Peu à peu, nous quittons la banlieue de Kumamoto et grimpons dans la montagne. Les volcans apparaissent ainsi que des fleurs roses, blanches et violettes le long de la voie ferrée et des maisons.


Nous partons faire une randonnée, mais je lâche au bout de la première montée en pierrier et assez rude… C’est dommage, mais bon ! Une dame allemande d’une cinquantaine d’année, grimpe elle, comme une chèvre !
Je prends du temps pour redescendre car je crains de me casser la figure. J’aurai au moins eu le temps de voir le panorama d’en haut ! Pique-nique en bas du pierrier et je pars me balader dans le sable noir, chaud : c’est amusant ! ca me fait penser à Arches mais en rouge !

Nous nous retrouvons et descendons à pied chopper le bus pour une nouvelle halte dans les prés un peu plus bas. Là le paysage toujours aussi lunaire mais parsemé d’herbes me rappelle la Mongolie. Je pique une sieste assommée par la migraine que je trimballe depuis le matin. Retour au bus, où l’on retrouve un groupe de français qui randonne avec un guide, c’est un voyage Alibert. Ils ont l’air content et papotent avec Patrice. Notre allemande est là aussi. Elle fait le tour du monde et ira à Hawaï après le Japon…
Nous laissons les Français à la gare. Nous donnons quelques conseils à des Français d’origine cambodgienne en gargote et reprenons le train pour Kumamoto.
Nous sortons tout de suite dîner, commandons à l’aveuglette et miracle : poisson + sashimi pour Patrice ; bœuf pour moi. Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes !
Les motards japonais : nous en avons beaucoup vu aujourd’hui, certains avec des Harley side-cars. Ils ont fière allure en général.
Voitures : elles sont toutes équipées d’un GPS assez grand et parfois même de la télévision : comme notre aubergiste à Kumamoto. Pas de vieux clous sauf dans l’île où on a vu quelques modèles anciens…
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