lundi 5 juillet 2010

Mardi 05 mai 2009 –TOKYO

Temple Sendoji

Debout vers 08h00. Nous prenons nos parapluies car le temps est gris.
Le matin nous sommes d’abord allés à Asakusa, qui est à 20 minutes de notre hôtel à pied. Le Temple Sendoji, un des plus anciens de Tokyo était bondé de Japonais, ainsi que de quelques touristes occidentaux. Partout autour, de petites ruelles anciennes, bordées de commerces, qui vendent des souvenirs, gâteaux salés, artisanat. Partout des lanternes rouges à caractères noirs, et d’autres beiges à caractères rouges. C’est le quartier de Tokyo qui n’a pas été détruit pendant la guerre et je trouve que ça ressemble énormément à la Chine.
En déambulant dans les galeries, nous tombons sur une jolie boutique de bols et théières et refaisons l’approvisionnement de bols en bois. En goguette encore : les chinois de Hollande ! Décidément ! Je repère quelques boutiques de kimonos et me dis que nous aurons l’occasion d’y retourner.
Nous partons pour Ginza. Là nous nous renseignons pour le théâtre Kabuki, mais il y a une file d’attente considérable pour prendre un billet pour un acte. Nous nous souvenons qu’effectivement, la golden-week n’est pas terminée !
Nous nous attaquons aux grands magasins : Sony, impressionnant de modernité : caméras, e-mobiles, écrans plasmas…
Au milieu, dans la rue devenue piétonne, nous voyons défiler des majorettes, des gens en costumes traditionnels juchés sur des échasses, un bon orchestre de Jazz…
Puis nous rentrons chez Big camera, car Patrice souhaite regarder les caméras. Il y a là-dedans un bruit infernal, du matériel à tous les étages, mais comment choisir ! Pour finir, il achète une carte mémoire et nous sortons, sonnés par le bruit !

Nous décidons donc pour changer d’aller voir le musée d’Edo. Reconstitution fort bien faite de Edo, du début jusqu’à la reconstruction de Tokyo après guerre. Maquettes, personnages de Kabuki en grandeur réelle, tout est intéressant et pédagogique.
Nous sommes mis à la porte à 17h30 et rentrons à Asakusa. Nous dînons dans un petit resto de la spécialité du Chef : une sorte de père Dodu ! C’est plein et les clients japonais semblent beaucoup apprécier ce met raffiné… Nous nous arrêtons au supermarché pour quelques courses alimentaires et rentrons chez nous fourbus !

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